24 avril 2010

ile du soleil

Bolivie, lac titicaca, ile du soleil.


Milieu de lìle dans un hotel avec vue sur le lacet les nuages. Une plage au pied. Une plage blanche de sable fin et de puce. Puces trainèes par les moutons et cochons qui pronement l'ile.

Couleur de l'eau d'un bleu qui rappel la fargniante des pages de magazines, une qui traine parfois bateau à moteur (pour aller faire les courses a la ville) et barque a voile (pour la peche). La terre toutes en colline et en montagne se stratifie de vert en couche des cultures en terrasse des ancetres Inca. une terre rase ou se juche parfois quelques eucalhyptus. Vive a 4000 mètre d'altitude. une ile dont on peut aller d'un bout a l'autre en 3-4 heures de temps.



Climat exterieur :
une tranquilite dans l'air rythmè par un chant d'oiseaux, une mouche qui vole , de l'eau qui goutte au robinet, des cris d'enfants une voix de tourist qui passe, le murmure du lac, un mulet qui pousse un cri d'ennuye.
Les matins et les soirèes sont fraiches, quand le soleil se couche le pull et de rigueur. des qu'il apparait creme solaire et t-shirt.
Ici le silence est delectable, pas de route, pas de voiture, des chemins pavès qui sillonent les collines, seulement pour les pieds et les mulets.

Climat interieur :
un peut comme en vacance, se sentor libre de l'interieur. Reelement, vraiment, sans mensonges.
se sentir libre de s'aimer.


L'ile du soleil. Ou les hommes sont plus coquets que les femmes. Une sociètè matriarcale, j'aurais jamais imaginès que sa pouvait être plus dur. Les femmes plus severe que l'homme, au champ l'enfant au sein ou dans le dos (envelppè comme un papier cadeaux), souvent je cherche une tête qui depasse sous les couches de tissus qui s'accumule.
Les hommes ont la peau lisse, les femmes ridèes par l'usure du soleil.
6h. du matin, le soleil se pointe, les mulets et les troupeaux aussi direction colline, quelques vaches qui se trainent poussèes a la cravache. Un petit enfant au sac a dos rose qui cri apres des moutons.
9h30. une ribambelle de môme a peine reveille qui se dirige pied trainant vers le sentier de l'ecole.
13h30. sa cri dans tout les sens, Youpi l'ecole est fini. Sa s'active, sa court, explosion. sa se deshabille et se jette du pontont direction le lac glacè ou je ne met même pas les pieds.
Si par malheur, je me retrouve a manger un gateau sec sur le bord des vagues, je me retrouve encerclèe de menottes piayantes, pire que des pigeons en plein Paris. Et ils disent de leur petite bouche piayante, ``tengo hambre´´ ( j'ai faim). Si ils croient que je les aient pas vu derrieres les murès a s'empifrer ``de caramelo´´ (designant globalenemt toutes les douceurs).
Les gens vont et viennent d'en sens puis de l'autre aussi chargès que leur mulets, proment leur patates et avas (poids) dans leurs besaces de tissus. Ils font souvent des pose parcque ca grimpe te sa descend. Leur maison se fait petites le long des chemins pavès. Maison de brique de paille et de terre, de toit de chaume d'ou sorte des cables electriques plus fins que des fils a chaveux. des maisonnettes, des jardiners. Des briques, du quinoa. Une porte, des pieds de maïs. Des pierres, des fleurs jaunes. La terre, une bêche. La main, la main et toujoursla main.
Le temps ici s'apprend.
Jour de lessive, les fils s'alignent de couleurs inombrables....


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