21 juin 2010

UN mois UN carnet de route


1 jour de mois de Mai: fin des montagnes Bolivienne, accoudée à la fenêtre du van.
Oublier sa condition, cesser d'être pour être vraiment.Depuis que j'ais tué mon corps, je peut enfin gouter au silence. Celui qui fait entrevoir l'amour. Alors j'erre comme un oiseaux et j'ais parfois cette sensation de vivre vraiment. A cet instant j'ai remarquè qu'il ni avait pas attendre, qu'il y avait à ceuillir et surtout à voir.
Ouvrir les yeux c'est si simple. Mais parfois bien des croyances en empêche. J'ais humé l'air et j'ais cessé de respirer pour profiter pleinement. Le paysage sec et vert, des arbres fourchus et des cactus, des montagnes et des hommes vêtus de jaune. Une herbe crâmée et multicolore de sac plastique. Traverser les nuages, s'endormir sur sa mer blanchâtre. Les rêves se vivent éveillé.

J'aime dessiner des coeurs avec mon doigts sur la buée des vitre, parce qu'aprés même si ils deviennent invisible, je sais qu'il restent à jamais. J'aime les villes le matin au reveil, c'est un bout de sommeil éveillé. J'aime me sentir en sécurité, lire des textes simple qui me font rêver, les pommes de terre au fromage celle en face de la dame bolivienne qui aime la danse arabe...




1 juin: sensation d'impuissance. A l'entrée de la jungle Bolivienne. Aprés avoir croisé une 10zaine de caimans se dorant sur les rives, que le grand axe de terre est devenu boue, une patinoire à la venue des pluies. Rurrenabaque une ville à l'entrée de l'Amazone entre fleuve montagne et bannanier, pluie abondante et rue de terre.

Demain je part pour la jungle, j'écrit avant , parce que parfois les choses ont plus de valeur lorsqu'elles sont mystérieuse, lointaine ou pas encore accomplie. La vérité et que je suis même pas exitée d'y aller. C'est triste d'être lassée. Je part découvrir des reptiles, des singes et des crocodiles et je ne rêve que d'un chez moi, rien qu'à moi, avec son lit, son intimité, son toit, des vêtements propre après la douche, des draps, un canapè, un livre, un thé, une musique douce, des croissants, du bon pain, l'odeur d'une tarte qui cuit au four. Je me rêve à vrai.....L'aire est à la mélancolie. L'envie de construire, de cesser d'être errant.
Demain je part pour la jungle. Qu'est ce que je prend dans mon sac? Est ce que je laisse mes rêves avant de monter sur la barque? Sur le fleuve il y a un bateau qui rappel le Missisipi, un bar rabougri avec des chaises qui s'ennuient autant que ma vie. 6 mois je sais plus si c'est long ou pas grand chose. Je sais même plus ce que c'est que la France. C'est dur de décrire la vie ici quand on à oublié le comparatif.
Demain je part pour la jungle. Alex ronfle les bras en croix, jèremy reste empoigné à sa torche pour chasser les intrus nocturne, la poussière à enssevelie les fenêtres, le chien se lêche, le sommeil à entérré la ville.[...]


2 juin: Bolivie. Rurennabaque. Parque Madidi à crèdit.La jungle. Une maison au mur de moustiquaire. Un lit, un vrai. Des singes hurleurs au loin qui comme un vent hanter réveil le jour. Des pluies d'oiseaux qui teinte les arbres.

Le guide me dit que le singe hurleur est le plus heureux des hommes. Parce qu'il a entre 5 et 7 compagnes. Plus ils hurlent fort, plus ils sont puissant. Apparement dans leur gorge, ils ont comme un verre qui fait caisse de résonnance.
Il parait que c'est les papillons mâl qui butinnent les fleurs et que les femelles elles elle sont sur le pipi des animaux.
Il y a des petits perroquets, aux plumes vertes et bleu qui font leur nid dans les termitières. A la saison des pluies, la fôret s'innonde à hauteur d'homme, alors les termites (insectes à la taille d'une fourmie qui font leur maison, comme une boule de terre à trou assez haut sur les troncs d'arbre pour fuire l'innondation). Quand à ces perroquets, ils font un trou dans la termitière pour y déposer leur oeufs et au moindre prédateur les termites attaquent, defandant les oeufs et acceptant la seul présence de cet oiseaux vert.
Une liane grosse comme un petit tronc d'arbre, qu'on coupe quand on a soif,
Une plante à grosse feuille qui à l'interieur de sa tige à une bande transparante et cicatrisante,
Des petits singes couleurs café qui piallent ou qui chante comme des oiseaux, qui sautent de branches et qui parfois se retrouvent quelques mètres plus bas,
Des yeux de caïmans immobile dans l'eau quand les copains de la barque pêchent au coeur de boeuf les piranhas. Manque de chance aujourd'hui ils veulent pas de viande, en tout cas quande je leur donne mes cachuètes, ils dèvorent sa tout cru. Et si les piranhas étaient devenu végétariens?


3 juin: je profite de mon lit. Les singes piallent dans les branches, c'est des capucins. Il y a du bruits dans les feuilles pas loin.

Une tarentule toute velût qui attend sur le tronc d'un palmier le soir venu quelques insectes.
Une ariagnée singe singe se balladent sur le distribuetur d'eau,
Une autre est si timide que au bout de milieu de sa toile quand elle nous voit arriver elle replit ses pattes et se met en boule,
Un arbre gigantesque, celui la à 700 ans, et a comme des racines sorties de terre, du coup au pied de son tronc il y a des petites maison, c'est la que l'on peut se cacher la nuit si l'on est perdu. C'est un arbre immensse et qui a seulement quelques centimètre de racines. Du coup pour pas tomber quand il y a du vent, il a étendu le bas de son tronc bien haut sur les côtés, tel des pieds d'éléphant posés dans la fôret.
Avec des petites noix de coco sauvage on peut faire de jolie bague couleur cafè.
Parfois, on peut faire des calins à un bèbè singe araignè quand c'est l'heure de sa sieste, et qu'il cherche l'affection de sa maman perdue.
Il y a un hara (un perroquet aux plumes arc en ciel) qui trainent pres des cuisines, pour monter aux arbres il y grimpe avec ses griffes. Il ne peut plus voler on lui a coupé les ailes.


4 juin : Gayamirim. frontière Bolivie-Brézil. Il est 10 heures du soir, la nuit se fait moite, une terminal d'omnibus sur un banc pour passer les 1heure et demi de déchargment avant de poursuivre à la prochaine ville, Gaymirim la derniére ville avant le Brézil.
Celle qui annonce enfin la fin de la Bolivie. J'attend solitaire les cheveux collès de poussière et des vêtements qui n'osent plus compter les jours sans être lavé.
Un viel homme s'assoit "l'autre nuit est arrivé un couple hindoue et ils ont commencé à se disputer, ici. La femme lui a donnè un papier et l'homme c'est mit à la taper, avec le poing ainsi, puis à la trainer [...] j'ai appellé la police, l'homme était trés grand et la femme toute petite et aussi fine que ça (montrant son poignet). Ces choses ne sont pas acceptée en Bolivie. La police lui a donné une petite amende pour marquer le coup. Souvent se sont les hommes de petites éducation. Ici à Riberalta les femmes ont une organisation de défense. C'est chose là ne devarit pas se faire, c'est un caprice d'homme matcho. Je pense que le plus important c'est le dialogue, avec ma femme on s'assoit côte a côte et on discute jusqu'a trouver un accord..."


6 juin : Puerto Vuelho. Brézil. Les hamacs viennent d'être tendu sur le pont, 2 jour avant l'embarcation. Dans la ville c'est jour de marché et les fruits abondent des étalages. [...]
J'avais lu dans les guides de voyage, l'expression "bétaillère" en parlant des bateaux brézilien. Je la comprendrait jamais autant que maintenant, mon hamac dans une boite à sardine parmis une centaine d'autre.

8 juin : sur le rio Madeira, a bord d'un bateau de bois, entre Puerto vuelho et Manaus. Brezil. J'ai parfois cette sensation de silence, comme une incapicité à écrire, comme une incapacité à décrire. Je voudrais faire partager. Crier que voyager c'est casser les murs de croyance. Faire part de l'iconnu, que ces auréoles ne sont vrai que dans les livres. Au coeur de la jungle il ni a pas de serpent qui pendent à chaque branche. Que pour voir un animal il faut le traquer, l'apater avec des bannanes ou de la terre salée, il faut savoir rester des heures caché.
Dans la jungle à part les moustiques ou les araignés, il faut avoir la chance en poche pour se faire attraper par un anaconda. Ka l'autre bout du monde il ni a rien de mieux, que le bohneur se porte avec soi, on ne le rencontrera pas dans un hamac brézilen. Le voyage améne à tout lâcher.
J'apprend que tout ce que je croyais réel n'est qu'une illusion. Que l'impossible est le plus probable. Comment peut on imaginer l'inimaginable.

29 mai 2010

un boa, la route et des jus d'orange


Bolivie nord. entrèe de la jungle au bord d'une lagune et d'un marecage. Trinidad. au son des motos sous une moustiquaire.

climat exterieur : un aire moite et chaud. des nuits aussi chaude que les jours. parfois un vent du sud viet rafraichir l'aire et la compagnie de quelques pluies fines viennent relacher la pression. les hamacs sètirent dans les jardins à côtè des cabanes en planches.
temps de vivre, prendre le temps de vivre. un aire qui s'offre a la paresse. prendre le temps de vivre. une cabane qui s'offre a des hamacs, une jungle humide et moite. c'est l'èpoque des oranges. les arbres se chargent de jaune orangè, les bords de route, de camion ouvert dègueulant ces clèmentines, mandarines ou toronra (gros pamplemousse juteux) sur l'asphalte. moi qui me ravissais a l'idèe d'avocat abondant, je me retrouve les mains pleinent de mandarina...


climat interieur : un silence pour compagnie. quand les mois de voyage se suivent, les diffèrences se perdent. comme si être un ètranger devenait un pays.


je sais pas trop quel taille fait la bolivie, mais en tout cas en une frantière y'a une sensation de plusieurs pays. les visages, les couleurs, les coutumes, les climats. D'un rien de l'Altiplano, ou d'un bout a l'autre seul le vide pousse, aux trop plein des bannaniers qui s'entrechoquent. Avec alex on s'est demandè si les gens du tout du bout, la ou il y a rien, du vide et du ciel, ils se doutaient que dans leur pays y¡avaient des gens qui vivaient tout a l'opposè. et ce qui vivent tout a l'opposè avec des fruits en abondance, si ils se doutaient que plusieurs kilomètres plus bas y'a des gens trèssès, aux jupes et aux bas de laine, pour qui manger des tomates est comme une fête.

12h20. pleine jungle, un barrage qui coupe la route, des jeunes avec un coupecoupe, quelques camions arrêtès. Une manifestation d'ètudiant. Pas vraiment dècidè a nous laisser passer, une route bloquèe jusqu'a 6 heures, pour dire non à des lois d'Evo. une manifestation a la Cumba ( musique de bolivie) que crache un 4*4 et au coupecoupe pour tailler les arbres qui barrent la route. pas de banderole, Ça ne se cri pas trop fort que l'on est contre le partage des richesses....

le van roule à plein, sursautant les nids de poule de l'asphalte viellit, entre les marècages, un boa constructor s'est èchappè et est rèstè ècrasè de tout son long sur la route proposant a vue une partie de son corps ènorme. observer, redèmarer.

un aire moite qui donne sans cesse cette sensation d'être un attrappe mouche et qui fait tourner la tête au ralentit.

14h. un village rejoint pour passer l'attente. un village de cabane, ou pour quelques bolivianos (monnaie locale), on prend une douche froide à côtè d'un tas de linge et quelques enfants jouant au foot entre les cochons et les ègouts ruisselant. un village de cabane, deux jeunes filles veulent quelques cheveux trèssès au fil. c'est agrèable de pouvoir parler et de ne pas se sentir sans cesse raquetè. d`être humain à humain. cesser de sentir dans topus ces regards que je suis un riche, se sentir seulement une monnaie.


Parylisèe, entre peur et adrènaline, dormir sous des arbres ou se nichent des serpents, ètendre le pic nique à côtè de lagune marècageuse ou jouent des caimans, être pied clouès dans un transat les jumelles còllèes aux ailes des oiseaux muliticolres au bec crochus des charognards, mater à la lampe torche les moustiques le soir venus pour pouvoir dormir a moitiè nu.

au village, lorsque j'ai passè le portail absent d'une maisonnette qui affichait empanadas et tatu (bèstioles a carapace poilus, qui sert pour les charangos). une au mamie aux aires ètrengement asiatique m'acceuil en me serrant dans les bras, comme si j'ètais pas une inconnu. Elle me demande comment sa vat, alors moi aussi je vaut savoir son ètat. Forcèment elle me dit pas très bien, aujourd`hui elle â la tête qui navigue et le visage des gens est tout noir. un diabète, pas de mèdecin au village, mais sur tout pas facile de se passer du cafècito sucrè. elle me demandait des remèdes, elle cru sur parole tout mes conseil.
toute la famille vient d'enmènager dans deux petits carrès de planches au milieu d'un jardinet ratiboiser, pour surveiller la grand mère. Ils sont des origines allemandes et une gentillesse à faire dèborder le coeur.
elle me prèpare une pizza a l'annanas, je lui achète une bouteille de chicha ( boisson rafraichissante a la farine de maïs cuit au chaudron et au feu de bois), on papotte beaucoup, mais comme c'ètait du bavardage je me souviens plus de quoi...

j'avais envie de lui dire merci, parce que la bolivie sa tire par les deux bras, quand on se fait pas voler les flics cherchent à toutes les extrèmitès pour un "bakchich". la dernière fois en un beau milieu d'après midi sur le bord d'une place, alors qu'on avaient garè le camion en sens inverse des vois de circulation pour ouvrir les portes cotès bancs, une meute vêtu de vert, tatouè police national a dèbarquè assoiffè d'un billet, aucun papier n'ètais bon, et èvidemment grosse amende pour s'être garè en sens inverse. pas degonfflè, un peut habituè et plus vraiment peur, la discussion perdure. mais au moment ou je crois qu'on s'en serait pas sortit, la bande des mamitas ( c'est comme ca que s'appelle les filles en gèneral) sont sortit de derrière leur chariot a jus pour leur raconter ce qu'elles avaient vus, et un petit jeune qui passait par la c'est aussi arrêtè.
en troupe dèrrière nous: " vous allez pas leur mettre une amende, ils sont pas dans leur pays, ils savent pas comment sa se passe ici"
le flic : " vous savez comment sa se passe dans leur pays, quand vous avez fait une infraction il ni a pas de discussion, en plus quand vous êtes un ètrangè ils vous font pays plus cher...
et de toute facon c'est normal qu'ils payent ils sont riche"
les dèfenseurs : " mais eux ils sont pas riche ils cuisinent dans leur camion, et montrant un sac qu'une amie tenait entre les mains, regardait ils vont faire les courses au marchè..."
le chef flic rondouillè abdique en riant puis, vont rakèter un ou deux jus aux mamitas rebelles.
la bolivie nous porte de surprise en surprise.
ce soir je me retrouve gardienne d'un club nautique de l'armèe, les deux jeunes gardiens qui après nous avoir fait rentrè se sont afit la mal en nous disant qu'ils reviendraient demain matin. en tout cas, c'est plutot pas mal d'avoir sa plage et son pontont privè, de dormir au son de tout ces insectes, et de dèlaisser les rues chargèes de moto de Trinidad.

Vous avez dans l'idèe de ce que sa peut être une circulation de deux roues?

des familles entières se jonchent sur une selle, parfois assise a l'arrière une maman tient fort dans ses bras un nouveau nè capuchonè. Tout le monde tête au vent, se retrouvent au feu pour èchanger les amitiès.
des paresseux font la sieste sur les arbres de la place public, des cireurs de chaussures non chalants et sans paroles parcourent les bancs, pour une fois ils sont pas insistant, j'achète dans les rues des bonbons a l'unitè, un verre de jus directement prèssè.

un peut plus bas a Sucrè, j'avais ètais un peut èpatèe, j'avais jamais vu autant d'enfant travailler, cireur de chaussure, vendeur de journaux, laveur de voiture, musicien, chanteur, beau parleur touristique, laveur de table serveur de api ( farine de mais rouge cuite a la canelle et quelques kilos de sucre). En tout cas tous ils aiment le foot et travaillent pour les cahiers, pas facile d'être ecoliers a Sucrè.
J'ais aimès parcqu'ils avaient pas l'air triste, que leur yeux brillaient et qu'ils se retrouvbaient toujours entre eux pour jouer à la bagarre, se partager une glace, ou faire de trois passe en pleine rue.
j'ais aimè parcque parfois y'a rien de triste, que c'est juste diffèrent, que c'est pas parce qu'on a huit ans et que l'on vend des journaux que l'on a la vie gâchèe. tout ces enfant ils avaient le sourire et la malice.
Il y a dans les ètalages entre les shampoing à usage unique et les savons rikikiminus, des petites boites de crèmes a la laitue, des petits fromages de chèvres que les femmes fabriquent dans la paume de leur main et qui s'effrite à la première bouchèe, des femmes jonchèes très haut dans des petits kiosque à fruit, si haut que même en levant la tète je les apercois pas ( alors je vais de côtè pour leur parler), ces femmes echassiè vendent des jus de fruits sur mesure et font des concours de salade de fruit, je sais pas quand elle s'arrêteront parce qu'il y en a plus audessus et à côtè que dans la barquette, les amateurs de chantilly serait râvi.
et il y a aussi des gâteaux tres haut, comme dans les sèries amèricaine, qui proposent des enluminures vertes, rose, rouge, jusqu'a prèsent j'en avais vu que dans les dessins animè....




14 mai 2010

BOUCLE ANDINE

Bolivie. boucle andine. quatre a bord d'un van americain.
suivant les traces des 4*4 à travers les deserts et les pistes d'altitude entrecuipèes de pierre, fleuve et ravine.
Le lit arrière accoudè au fenêtres offrent une vuepanoramique sur les paysages defilant.
vivre le voyage tout autrement, sur roue entre francais.
climat exterieur: les nuits si fraiches (jusqu'a -20) que l'on apprecie d'être 4 sur un futon. des paysages si gigantesques et vide que l'on est heureux de voir un lama.
des montagnes si grandes ou des terres si plates qu'il ni a pas besoin de lever les yeus pour regarder les ètoiles, un oeil a l'horizon des ètoiles de la terre au ciel.
de la poussiere jusque dans les narines. Des villages perduent au beau milieu d'un rien. Village au maisonnette de terre vivent du lama, du zinc ou du sel.
cultiver la survie, comme on cultive la misère.
climat interieur: une fatigue qui se mèlange à un ètat de dètachement.
tout passe, tout defile, sans plaisir ni dègout. Un peut comme une deprime heureuse.

le camion devale les pentes, le soleil qui se couche offre ses bleus et rose sur les falns de l'altiplano. respirer en permanence la poussiere des chemons qui rentre par toutes les vitres. Le ciel st comme un arc en ciel sur le terre rase.
La terre est belle, vide de tout elle offre des miracles.
la terre est un support au ciel, lorsque dessinee de courbe simple, les nuages s'effacent a l'horizon comme des danseurs ètiolès. Bercè de parme, des crocodiles sur fond jaune s'oublie quand la lumiere se baisse.
J'aurais aimè tout capter, les moindres dètail, pour qu'a jamais se spectacle souffle dans mon coeur.
La beautè c'est comme l'ètat amoureux, il laisse des traces du ''tout est la''.
Les pics enneigès bleu cotoit les domes craquelès de rouge parsemès d'arbustes vert, comme des ètendues rayèes. Jonchè de rien.
Parfois quelques lamas aux oreilles pomponnèes de rouge, dèvorent les maigres ètendues vertes. Ici les routes s'oublient seul des piste a 4*4 persistent.
Parfois quelques villages au milieu de se vide. de terre rouge et de chaume, de murè et de porte. le van sautille au rythme de la musique salsa, le chien garde les oreilles baissès, les yeux dressès vers le ciel.
les lamas sa rappel les guanacos de patagonie mais en plus poilus.

l'amèrique s'etend de vide, comme l'europe de ses champs de pavillon. des crevasses rouge comme des lèvres gèrcèes d'un gèant, aui se dèssine sur le bleu parfait du ciel. ces plissures au 10 teintes comme des bourssoufflures et toujours ce ciel insolent.

Plus d'appareil photo, pas de photo possible, seul alternative ècrire, ècrire sur l'ainstant pour essayer de retranscrire l'ompossible. Un foulard sur le nez, de la poussière plein les narines, des bonds sur le fauteuil, un sommet pointu et enneigè, une ètendue, des bourssoufflures, du vert, du jaune, du rouge, un ravine de terre, un bleutè. deux dames sur le bord, une au chapeau et aux dents percèes, nous fait signe de sa bouche et de son chapeau. Isolè, confinè, vivre à 4 francais avec son plumard et sa gazinière.
Mes deux pieds se sont transformè en 4 roues amèricains, ou je vois le monde a travers des vitres tintèes. pas de lasse, pas d'ennuye, la terre est si belle. On trace la bolvie, Tupiza, uyuni, potosi, sucre, oruro... l'exotisme se porte a travers les guides de voyages.

Potosi, mine d'argent, mine de zinc, rèloser que germinal n'est pas fini, des hommes qui vont sous terre pour y gagner trois sous, parfois beaucoup, parfois rien. Coest ca qui lèi fait tenir, l'espoir, l'espoir et la peur.
Pourquoi quoi qui se passe y aura toujours de la vie.
Peut importe le lieux. Dand le nul part, toujours jaillit la vie.
et ces villages miniers qui construisent leur peuvretè sur leur richesse.
J'aurais aimè avoir des rèponses, mais il ni a pas de question. seule echapatoire, laisser couler te attendre. Comme un epluie d'ètè qui dèbute et cloue dèrrière les carreaux. Atteindre, patience, voir arriver l'arc en ciel.

je debute mon mirage par une illusion parfaite. je me sent parfois comme un elephant qui ignorant dètruit tout sur son passage. J'aurais aimè embrasser le monde, lui offrir des roses. A ces minneurs qui la bouche pleine de coca, ne savent meme plus ce que c'est que l'espoir. et cette terre encore vierge, pour combien de temps, pour combien d'annèe, clouè au sol comme conmdannè, Conmdannè au seul regard, et voir les consèquences.
voir que vivre à une influence.
cesser de se sentir irresponssable.
ces mineurs qui tournent a la coca, ces mineurs qui tournent a l'alchool a 96, ces mineurs qui mangent pas,..
un dieux, Tio, apparut sous la mine comme par un miracle au temps de la mita, de travail gratuit et obligatoire.
Esclave peut productif dit espagnol imaginatif. Un dieux sous la mine qui surveille et qui decide de la mort, de la vie, de la chance. a ce dieus, Tio (signifiant dieus par deformation), on lui offre ce que le consomme, cigarette, coca (que l'on met en boule sur le côtè de la joue, durant une heure pour quatre heures), et de la 96 au bouchon ou la bouteille, cette alchool qu'on trouve meme pas dans les pharmacies francaise...

24 avril 2010

ile du soleil

Bolivie, lac titicaca, ile du soleil.


Milieu de lìle dans un hotel avec vue sur le lacet les nuages. Une plage au pied. Une plage blanche de sable fin et de puce. Puces trainèes par les moutons et cochons qui pronement l'ile.

Couleur de l'eau d'un bleu qui rappel la fargniante des pages de magazines, une qui traine parfois bateau à moteur (pour aller faire les courses a la ville) et barque a voile (pour la peche). La terre toutes en colline et en montagne se stratifie de vert en couche des cultures en terrasse des ancetres Inca. une terre rase ou se juche parfois quelques eucalhyptus. Vive a 4000 mètre d'altitude. une ile dont on peut aller d'un bout a l'autre en 3-4 heures de temps.



Climat exterieur :
une tranquilite dans l'air rythmè par un chant d'oiseaux, une mouche qui vole , de l'eau qui goutte au robinet, des cris d'enfants une voix de tourist qui passe, le murmure du lac, un mulet qui pousse un cri d'ennuye.
Les matins et les soirèes sont fraiches, quand le soleil se couche le pull et de rigueur. des qu'il apparait creme solaire et t-shirt.
Ici le silence est delectable, pas de route, pas de voiture, des chemins pavès qui sillonent les collines, seulement pour les pieds et les mulets.

Climat interieur :
un peut comme en vacance, se sentor libre de l'interieur. Reelement, vraiment, sans mensonges.
se sentir libre de s'aimer.


L'ile du soleil. Ou les hommes sont plus coquets que les femmes. Une sociètè matriarcale, j'aurais jamais imaginès que sa pouvait être plus dur. Les femmes plus severe que l'homme, au champ l'enfant au sein ou dans le dos (envelppè comme un papier cadeaux), souvent je cherche une tête qui depasse sous les couches de tissus qui s'accumule.
Les hommes ont la peau lisse, les femmes ridèes par l'usure du soleil.
6h. du matin, le soleil se pointe, les mulets et les troupeaux aussi direction colline, quelques vaches qui se trainent poussèes a la cravache. Un petit enfant au sac a dos rose qui cri apres des moutons.
9h30. une ribambelle de môme a peine reveille qui se dirige pied trainant vers le sentier de l'ecole.
13h30. sa cri dans tout les sens, Youpi l'ecole est fini. Sa s'active, sa court, explosion. sa se deshabille et se jette du pontont direction le lac glacè ou je ne met même pas les pieds.
Si par malheur, je me retrouve a manger un gateau sec sur le bord des vagues, je me retrouve encerclèe de menottes piayantes, pire que des pigeons en plein Paris. Et ils disent de leur petite bouche piayante, ``tengo hambre´´ ( j'ai faim). Si ils croient que je les aient pas vu derrieres les murès a s'empifrer ``de caramelo´´ (designant globalenemt toutes les douceurs).
Les gens vont et viennent d'en sens puis de l'autre aussi chargès que leur mulets, proment leur patates et avas (poids) dans leurs besaces de tissus. Ils font souvent des pose parcque ca grimpe te sa descend. Leur maison se fait petites le long des chemins pavès. Maison de brique de paille et de terre, de toit de chaume d'ou sorte des cables electriques plus fins que des fils a chaveux. des maisonnettes, des jardiners. Des briques, du quinoa. Une porte, des pieds de maïs. Des pierres, des fleurs jaunes. La terre, une bêche. La main, la main et toujoursla main.
Le temps ici s'apprend.
Jour de lessive, les fils s'alignent de couleurs inombrables....


24 mars 2010

La famille Tortuga

Argentine nord. 200 km plus de Yacu Yura. Au alentour de Cordoba en plein coeur de la sierra
(Foret non dense), 7 km de piste. Le plus proche village est ancienne colonie allemande.
Bierre, maison et jardin a l'allemende et autre spécialité artisanal. Villa genral belgrano.
affalée sur le lit d'une petite maison que l'on nous prete. Chez la fmile Totuga (tortue), du nom du bus qu'ils ont trainé pendant un an le long de leur voyage.

Climat exterieur : les etres de la petite familles s'afférent a la construction d'une petite école exagonal, pour Tobia qui a 8 ans, les Tortugas ouvrent leur terrain á qui voudra pour créer une communauté. L'air est bon. un air d'autonme, d'été francais.
climat interieur : heureuse, tranquile et fatiguée come si l'énergie était au sommeil.




On avait anvie de rendre visite a la famille Tortuga avat de prendre la route. Mére a la ville, réglant ces derniers preparatifs, Je crois que sa remonte a trois semaine de ca, on les a rencontré a Yacu Yura. Ils ont débarqués avec leur bus. trois tete blondes, trois tetes brunes et une tete grisonnante. Qu'es qu'y z'étaient beau.
on avait envie de passer du temps a les regarder.
Puis ils nous on dit qu'ils avaient une petite maison innocupées, qu'on pouvait passer et y rester un temps. Alors, nous on a pas oublié.
5 enfants et une maman qui parait si petite, si frele, si jeune. Au beau milieu de nul part, ils ont perchés une immensse maison de bois, sur pilotis, qui abrite un decor de conte. Leur lit celui d'un roi, d'une reine. des chambres, bleu pour les garcons, rose et voilée pour les filles. Les tasses portent des dorrures et des roses.
Ils pleut rendez vous sous la maison pour nettoyer un vieux plancher que pietinera les enfants.
L'aire est frais.
Depoussierer, pncer, laver, decaper...pose maté. Cintia assise dans son pull violet le pinceau a la main nous demande si nous connaissons la prophétie de l'argentine et du sud de l'amérique du sud.
- "non"
- "il y a un prophéte du nom de benjamin solaris parravicin , un argentin qui recevait dessins et ecriture. Jusqu'a aujourd'hui chaqu'une de ses predictions c'est révelées vrai, ce sont passés.
Cet home dit que l'argentine va etre la nouvelle terre et ses pour ca qu'elle est vide aujourd'hui. Les argentins vont acceuilir les europeens."
La, elle nous parle de 2012, du grand boulversement terrestre.
- "il dit aussi que les tremblement de terre, maladie, vont commencer en Amerique du sud, mais moins fort qu'en Europe et aux Etats Unis, ce qui permettra aux argentins de se preparer et d'etre pret pour acceuillir."
Elle poursuit avec la prophetie maya, puis aussi celle des indiens hopis
- " Je ne me souviens plus tres bien. Mais la prophetie parle du moment ou le changement viendra... Quand la terre sera recouverte d'asphalte, quand la terre sera recouverte de reseau (qui font reference au reseau de la communication), ...."
Plus tard nous cherchons sur internet les dessins de benjamin. La pluie nous fesant la construction de l'école.
Mathias, l'ainé de 15 ans, se construit un tam tam avec un morceau creu recuperé en foret;
Ailen, la cadette, note sur son petit cahier le nom des coueurs en francais;
Tobias chante des mantras en lancant du balcon des fleches de son arbalette de bois;
Huilen, de ses trois trotinant, chante la cucaracha (cocinnelle) "la cucaracha, la cucaracha no puede caminar, porque le falta, porque le falta, las patits de detras" (la cocinnelle ne peut pas marcher parcequ'il lui manque les petites pattes derrieres)......

Frais d'envoie

0-1 kg : 17 euros
1-2 kg : 20 euros
2-3 kg : 23 euros
3-4 kg : 26 euros
4-5 kg : 29 euros
ect...
10 kg : 45 euros
15 kg : 56 euros
20 kg : 73 euros
23 Kg : 84 euros

a noter : 23 kg est le poids maxi d'un colis.

prix des envois en economique par avion,
délais entre 15 jours et un mois et demi
en envoi classique par avion delai 15 jours multiplier tout par deux.

Sac et compagnie

De cuir et "agouyo" (tissage a la main de laine de mouton).
On a eut le coup de coeur pour la qualité qu' offrait ces sacs.


Besace avec poche interieur, environ 25 cm de large pour le petite
et 35cm pour la grande. 19 euros et 22 euros














Sac á main type facteur , environ 20 cm de large, peut profond. 15 euros












sac á dos cuir et "agouyo", environ 50 cm de hauteur et 30 cm de large. 28 euros























besace souple avec "agouyo" ancien, 25 cm de large sur 35 cm de haut. 23 euros.
ici sur la photo, pas top les sac, mais en vrai de vrai on voulait tous se l'acheter.




















Sac á main en cuir retourné, rigide avec empiecement d'agouyo ancien environ 40 cm de large sur 25 cm de haut. 35 euros

instrument de musique

Nous avons choisis des instruments de niveaux proffessionnel et semi proffessionnel.
Pour pouvoir apprecier pleinement le son boliviano.

Quena, flüte bolivienne en bois de "jacaranda", bois d'amérique du sud, avec sa housse de protection et son livret d'apprentissage (chant et musique bolivienne).25 euros.













Zampoña, flüte au son de l'altiplano, en bambou avec sa housse de protection et son livret d'aprentissage (chant et musique bolivienne). 25 euros













Charango, petite guitare au son trés amusant qui rappel les aires de musique Andines. Fabriqué dans un seul morceaux de bois, 12 cordes. Avec sa housse de protection et son livret d'apprentissage (chant et musique bolivienne). 60 euros