Impression de ville patagonienne

Une tape dans le dos, un sourir,

une dents en moins, ou plutôt seulement une dent.

Il est venue le temps de faire le point.

Combien de temps, pourquoi, comment, qu'est-ce que je suis venue faire ici.

Pas de réponse. La vue résonne sous les enceintes de la musique électoral, des affiches,

des prospectus s'envolent au vent.

Des couleurs, des murs peints, certain en l'honneur des indiens.

Dédaler les rues, des auberges, des hôtels, des magasins de sport, des restaurants,

des farmacia. Pousser la porte d'une farmacia, c'est rentée au pays de l'hygiene

corporels, des shampoings, des savons, ont remplacé le rang de médicaments.

Une  enseigne, à quelques pas propos des soins reiki, une autrre de l´homèopathie.

Ici, les sourires et les bonjours remplissent les rues.

S'asseoire sur un banc et caresser d'un revers amicale un chien de la rue.

Des rire éclatant, le roulement de skateboard, des cheuveux lissé à la japonaise,

la jeunesse apprend le chinois à l'ècole.

Des rues, des maisons s'entrecroisent pour construire à elles seule les villes,

et ne pas laisser de place au immeuble.

C'est parfois si similaire qu'on en oublirais les diffèrence.

Les jardins d'enfant coloré, 

les dates de peremption lragement d'epassè dans les magasins,

ne pas pouvoir rentrer au chili avec une pomme (business oblige), 

les maisons qui se servent de leur fenètre pour vendre leur affaire personnel en y accrochant un pantalon, 

sur le bord des routes des petites minus rikiki maisonette pour un saint qui protège des accidents de la route et qui doit avoir grand soif, car il a comme offrande des dizaine de bouteille d'eau...

et des kilomètres sans rien,

ou le ciel a plus de place que la terre,

et ou a force de bien y regarder se rien parrait plein...