21 juin 2010

UN mois UN carnet de route


1 jour de mois de Mai: fin des montagnes Bolivienne, accoudée à la fenêtre du van.
Oublier sa condition, cesser d'être pour être vraiment.Depuis que j'ais tué mon corps, je peut enfin gouter au silence. Celui qui fait entrevoir l'amour. Alors j'erre comme un oiseaux et j'ais parfois cette sensation de vivre vraiment. A cet instant j'ai remarquè qu'il ni avait pas attendre, qu'il y avait à ceuillir et surtout à voir.
Ouvrir les yeux c'est si simple. Mais parfois bien des croyances en empêche. J'ais humé l'air et j'ais cessé de respirer pour profiter pleinement. Le paysage sec et vert, des arbres fourchus et des cactus, des montagnes et des hommes vêtus de jaune. Une herbe crâmée et multicolore de sac plastique. Traverser les nuages, s'endormir sur sa mer blanchâtre. Les rêves se vivent éveillé.

J'aime dessiner des coeurs avec mon doigts sur la buée des vitre, parce qu'aprés même si ils deviennent invisible, je sais qu'il restent à jamais. J'aime les villes le matin au reveil, c'est un bout de sommeil éveillé. J'aime me sentir en sécurité, lire des textes simple qui me font rêver, les pommes de terre au fromage celle en face de la dame bolivienne qui aime la danse arabe...




1 juin: sensation d'impuissance. A l'entrée de la jungle Bolivienne. Aprés avoir croisé une 10zaine de caimans se dorant sur les rives, que le grand axe de terre est devenu boue, une patinoire à la venue des pluies. Rurrenabaque une ville à l'entrée de l'Amazone entre fleuve montagne et bannanier, pluie abondante et rue de terre.

Demain je part pour la jungle, j'écrit avant , parce que parfois les choses ont plus de valeur lorsqu'elles sont mystérieuse, lointaine ou pas encore accomplie. La vérité et que je suis même pas exitée d'y aller. C'est triste d'être lassée. Je part découvrir des reptiles, des singes et des crocodiles et je ne rêve que d'un chez moi, rien qu'à moi, avec son lit, son intimité, son toit, des vêtements propre après la douche, des draps, un canapè, un livre, un thé, une musique douce, des croissants, du bon pain, l'odeur d'une tarte qui cuit au four. Je me rêve à vrai.....L'aire est à la mélancolie. L'envie de construire, de cesser d'être errant.
Demain je part pour la jungle. Qu'est ce que je prend dans mon sac? Est ce que je laisse mes rêves avant de monter sur la barque? Sur le fleuve il y a un bateau qui rappel le Missisipi, un bar rabougri avec des chaises qui s'ennuient autant que ma vie. 6 mois je sais plus si c'est long ou pas grand chose. Je sais même plus ce que c'est que la France. C'est dur de décrire la vie ici quand on à oublié le comparatif.
Demain je part pour la jungle. Alex ronfle les bras en croix, jèremy reste empoigné à sa torche pour chasser les intrus nocturne, la poussière à enssevelie les fenêtres, le chien se lêche, le sommeil à entérré la ville.[...]


2 juin: Bolivie. Rurennabaque. Parque Madidi à crèdit.La jungle. Une maison au mur de moustiquaire. Un lit, un vrai. Des singes hurleurs au loin qui comme un vent hanter réveil le jour. Des pluies d'oiseaux qui teinte les arbres.

Le guide me dit que le singe hurleur est le plus heureux des hommes. Parce qu'il a entre 5 et 7 compagnes. Plus ils hurlent fort, plus ils sont puissant. Apparement dans leur gorge, ils ont comme un verre qui fait caisse de résonnance.
Il parait que c'est les papillons mâl qui butinnent les fleurs et que les femelles elles elle sont sur le pipi des animaux.
Il y a des petits perroquets, aux plumes vertes et bleu qui font leur nid dans les termitières. A la saison des pluies, la fôret s'innonde à hauteur d'homme, alors les termites (insectes à la taille d'une fourmie qui font leur maison, comme une boule de terre à trou assez haut sur les troncs d'arbre pour fuire l'innondation). Quand à ces perroquets, ils font un trou dans la termitière pour y déposer leur oeufs et au moindre prédateur les termites attaquent, defandant les oeufs et acceptant la seul présence de cet oiseaux vert.
Une liane grosse comme un petit tronc d'arbre, qu'on coupe quand on a soif,
Une plante à grosse feuille qui à l'interieur de sa tige à une bande transparante et cicatrisante,
Des petits singes couleurs café qui piallent ou qui chante comme des oiseaux, qui sautent de branches et qui parfois se retrouvent quelques mètres plus bas,
Des yeux de caïmans immobile dans l'eau quand les copains de la barque pêchent au coeur de boeuf les piranhas. Manque de chance aujourd'hui ils veulent pas de viande, en tout cas quande je leur donne mes cachuètes, ils dèvorent sa tout cru. Et si les piranhas étaient devenu végétariens?


3 juin: je profite de mon lit. Les singes piallent dans les branches, c'est des capucins. Il y a du bruits dans les feuilles pas loin.

Une tarentule toute velût qui attend sur le tronc d'un palmier le soir venu quelques insectes.
Une ariagnée singe singe se balladent sur le distribuetur d'eau,
Une autre est si timide que au bout de milieu de sa toile quand elle nous voit arriver elle replit ses pattes et se met en boule,
Un arbre gigantesque, celui la à 700 ans, et a comme des racines sorties de terre, du coup au pied de son tronc il y a des petites maison, c'est la que l'on peut se cacher la nuit si l'on est perdu. C'est un arbre immensse et qui a seulement quelques centimètre de racines. Du coup pour pas tomber quand il y a du vent, il a étendu le bas de son tronc bien haut sur les côtés, tel des pieds d'éléphant posés dans la fôret.
Avec des petites noix de coco sauvage on peut faire de jolie bague couleur cafè.
Parfois, on peut faire des calins à un bèbè singe araignè quand c'est l'heure de sa sieste, et qu'il cherche l'affection de sa maman perdue.
Il y a un hara (un perroquet aux plumes arc en ciel) qui trainent pres des cuisines, pour monter aux arbres il y grimpe avec ses griffes. Il ne peut plus voler on lui a coupé les ailes.


4 juin : Gayamirim. frontière Bolivie-Brézil. Il est 10 heures du soir, la nuit se fait moite, une terminal d'omnibus sur un banc pour passer les 1heure et demi de déchargment avant de poursuivre à la prochaine ville, Gaymirim la derniére ville avant le Brézil.
Celle qui annonce enfin la fin de la Bolivie. J'attend solitaire les cheveux collès de poussière et des vêtements qui n'osent plus compter les jours sans être lavé.
Un viel homme s'assoit "l'autre nuit est arrivé un couple hindoue et ils ont commencé à se disputer, ici. La femme lui a donnè un papier et l'homme c'est mit à la taper, avec le poing ainsi, puis à la trainer [...] j'ai appellé la police, l'homme était trés grand et la femme toute petite et aussi fine que ça (montrant son poignet). Ces choses ne sont pas acceptée en Bolivie. La police lui a donné une petite amende pour marquer le coup. Souvent se sont les hommes de petites éducation. Ici à Riberalta les femmes ont une organisation de défense. C'est chose là ne devarit pas se faire, c'est un caprice d'homme matcho. Je pense que le plus important c'est le dialogue, avec ma femme on s'assoit côte a côte et on discute jusqu'a trouver un accord..."


6 juin : Puerto Vuelho. Brézil. Les hamacs viennent d'être tendu sur le pont, 2 jour avant l'embarcation. Dans la ville c'est jour de marché et les fruits abondent des étalages. [...]
J'avais lu dans les guides de voyage, l'expression "bétaillère" en parlant des bateaux brézilien. Je la comprendrait jamais autant que maintenant, mon hamac dans une boite à sardine parmis une centaine d'autre.

8 juin : sur le rio Madeira, a bord d'un bateau de bois, entre Puerto vuelho et Manaus. Brezil. J'ai parfois cette sensation de silence, comme une incapicité à écrire, comme une incapacité à décrire. Je voudrais faire partager. Crier que voyager c'est casser les murs de croyance. Faire part de l'iconnu, que ces auréoles ne sont vrai que dans les livres. Au coeur de la jungle il ni a pas de serpent qui pendent à chaque branche. Que pour voir un animal il faut le traquer, l'apater avec des bannanes ou de la terre salée, il faut savoir rester des heures caché.
Dans la jungle à part les moustiques ou les araignés, il faut avoir la chance en poche pour se faire attraper par un anaconda. Ka l'autre bout du monde il ni a rien de mieux, que le bohneur se porte avec soi, on ne le rencontrera pas dans un hamac brézilen. Le voyage améne à tout lâcher.
J'apprend que tout ce que je croyais réel n'est qu'une illusion. Que l'impossible est le plus probable. Comment peut on imaginer l'inimaginable.

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