04 janvier 2010

Courrir vers la tranquilitè



entre ciel et terre, l'eau, a cotè de l'eau des montagnes lèchèes au sommets enneigès.




des petits arbres pales qui grimace à l'ètè venue.



l'eau qui, sans remord, continue son remoue, perpetuelle.



battut par le vent, la tente papillonne et fait danser sa toile rougeatre. la posèe nu sur les galets, le tente se dresse comme un petit chateau fort qui nous protège du vent, du ciel et de la terre. Les heures s'ècoulent, les yeux se ferment puis se rouvrent, les heures s'ècoulent, bèrcèe par les vagues et le jeu des nuages.




Nos corps se reposent, nos esprits se baladent. Pour une fois nous sommes partis en promenade sans nos pieds. Plongè dans les duvets, la journèe se lasse.

Nous nous imagineons tel des robinsons, sur ile desertes.




La terre est si grande.


Posè sur nos sac, un carr'e de chocolat fondant en bouche. demain c'est une nouvelle annèe qui commence et nous sommes la sur un bout de chemin, nos pieds usès.tendant la pouce.



Nous sommes la sous nos kawai, a l'abris d'un buisson. L'air est humide, au loin des montagnes nous bordent, le lac berce de son remu, les nuages tapissent le ciel de masse moutonneuse. Un 4*4 se stoppe a hauteur, deux femmes au volants, l'une sous sa casquettes tient un air europeen et l'autre un sourire. Des sieges jonchès d'enfant.



Quelques roues plus loin la tente se pose a cotè de la leur, les verre de vin tinte sous la chaleur du 'cordero' (agneau en paler et griller au feu), et nous embrasson la valise jaune pour la chance du voyage.

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