04 décembre 2009

La Tierra del fuego

Elle a laissé les hommes aride et profond, habité par le bout du monde tout y est mais rien y reste. Il y a des endroits qui vous offrent cette possibilité de vous rencontrer, mais aussi de vous perdre. Il y a de ces endroits...




Neige du matin tout va bien,

chaque matin la neige nous salut,

alors Alex a chantonné notre premier dicton,
neige du matin tout va bien.










L'aprés midi le ciel nous offre son bleu azur,

et la terre son vent, son vent qui coiffe sans délicatesse ses habitants.

Je n'ai jamais trés bien su a quel moment commence un voyage. Peut être à ce moment précis ou
tout repére commence a manquer. Peut être à ce moment ou l'on oubli que la vie n'était qu'une suite. La tierre del fuego, des fleurs pour les morts, des pleur pour les vivants. La mort y est une joie vivante.

Aprés nos premiers 60 kilométres enfoncé en pleine nature, et la traversée de 4 riviéres de le fonte des glaciers,

nous embrassons notre premier hôte, un jeune pecheur né a ushuaïa et installé depuis 5 ans, il nous explique quand ce moment c'est les vacances car ces la période de reproduction alors la pêche est interdite, il teint un élevage de truite est de moules.

Mais il a des problémes avec les castors, il mange le bois et bouche l'arrivé d'eau tres importante car l'eau doit toujours circuler dans les bassins d'èlevage.



Nous apprendrons plus tard que se sont des castors du Canada, il ravage tout, font tomber beaucoup d'arbre pour leur barage, et le gouvernement donne une rancon a chaque castor abattu.

Ce jeune pêcheur vie dans une cabane de bois pleine vu sur les montagnes d'un côté et la mer de l'autre.


Il nous explique que la pêche est meilleur l'hiver, les poisons remonte a cause du froid. Et lui il voit plein de pingouin, tout le temps, il nous fait rêver nous qui courrons après depuis le dèbut de notre voyage. L'hiver il fait du surf, juste a côté de sa maison.

Son acceuil nous rechauffe le coeur, un autre habitant de ce bout du monde sans était dèja chargeait en nous offrons le thè et en nous demadons de sa grosse voix mais pourquoi nous marchions. il nous a confié que l`hiver ètait long, seul avec ses six heures de jours, il nous désigne une grande ètagère debordante de revue, de livre...



La terre nous a offert ses grande ètendue inhabitèe, nous avons du cesser de marcher, une ville tout les 200kilometre les bons moments, seulement une ferme tout les 40 kilomètres...casi impossible.




Nous tendons le pousse,
le dernier a nous offrir ses siéges tient une grande
ferme avec 50 000 bêtes, de mouton pour la laine qu'il exporte au japon, nouvelle zélande, australie...




c'est le moment de la tonte, il nous propose de venir voir,

mouton alignié, chacun son tour, pas de violence, l'air y est paisible, chacun sa tache, 5 pour la tonte, 2 pour tasser la laine pres a l'export, ca s'agite, des acheteurs , des travailleurs....

















punta arena, ou la mort est une joie, lors d'un enterement les voitures claxon, les cimtière offrent des couleurs, des fleurs pour les morts et des pleurs pour les vivants.














1 commentaire:

ArTranslation a dit…

Merci pour ce moment de rêve et bon voyage à vous, bon cheminement... frederique