05 mars 2010

Nouveau cycle.

Argentine nord (alex me dit au centre). Sur le départ. la lune est pleine. nouveau cycle.


climat exterieur : exitation des préparatif, nouvelle destination en vue. s'afférer de nouveau.
début de l'autonme. l'air est doux, les matins frais. une journée de soleil qui fait oublier les nombreuses pluies nocturnes de cette époque.
climat interieur : nouveau cycle. le corps oublis le rythme des semaines passées a faire la cuisine pour une trentaine de personne, et le rythme s'offre a une douce paresse interieur.

J'hume l'air des moteurs ronronnant, des vielles carcasses, comme nunca ailleurs, qui se deroule avec force sur le pavé. Enorme et vieux 4*4 américain, auto décolorée, moteur en peine. Toujours lui demander d'aller un peut plus loin, de continuer encore quelques temps.
Arrêter quelques jeunes hommes.
-''Hé chico, tu peut m'aider avec cette voiture.''
Et nous nous retrouvons á pousser Matilda, cette vielle carcasse rouge qui pése des tonnes.

Capilla del Monte, ce petit village, qui trône chaotique au pied d'une montagne sacrée. Un mythe étrange se difuse. Les rues s'enlisent de hipies, de penseur en tout genres, de pays différent. A

Affiches : ''Ce soir a 20heures une rencontre avec les OVNIS.''
le sifflement des oiseaux s'accouplent au son des radios, des moteurs qui toussotent. Une sensation de simplicité.




S'amarer au restaurant vegetarien, lecher les menus, au coeur d'une argentine carnaciére. L'epoque du raisin déboradat des jardiners. Aujourd'hui la ville épouse un autre temps, l'été est fini, la fin des grandes vacances, les colléges se sont remplis d'enfant en uniforme. De jeune fille en jupette courte et plissée, chaussette remontée et bien lissée. Gabhi acceuille ses filles de leur retour de permier jour d'école. Le mixer ne se préoccupe pas du silence et de se ronron les fruits s'entravent.

Se sentir comme chez soi dans un pays inconnu. Ici tout sens bon la libérté. - '' un peut trop. s'élance la femme de la boutique internet . une jeune fille peut rentrer en discothéque á treize ans, et aprés elle se drogue, les parents travail et ne s'en occupe pas. Non, je ne saias pas ce que fait le gouvenement. Mais pour moi cést trop de libérté. a quoi sa rime.''

Gabhi lit avec sa fille sur les genoux le papier de demande d'aide, comment est la maison, si il y a de l'eau, de l'élecrticité, quel est le travail des parents, que mange l'enfant au petit déjeuner...Pas de bourse. Pour les plus démunis le gouvernement offre petit déjeuner et repas du midi. -''Non je ne vais pas faire une demande, c'est pas que nous sommes riches, mais je ne necessite pas de ca. Je prefere la laisser au gens qui en on besoin. Pendant l'hiver c'est un peut plus dur...

Ca y est je suis assise la devant un bouquer de fleurs jaune. Jambe croisée, dans une maison de village, qui vient d'être louée, en plein bardaba. Adieu matinal a yacu yura. Mére range ses affaires et prépare son sac, on va partir a 3. 3 sac a dos en partance pour le lac titi caca.

y parait que cette montagne, qui colle Capilla abrite un peuple invisible les ERKS. je ne sais rien de plus. Ce matin on a pris la route, tomber pli poil pour tendre le bars au bus. Nouvelle lune, nouveau cycle.

Le sac est bouclé, en partance.



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